Dans une nouvelle interprétation architecturale de son icône, la Grande Seconde Skelet-One laisse pénétrer la lumière au sein de sa mécanique.
La Grande Seconde incarne l’essence de l’art horloger de Jaquet Droz. La maison a maintes fois varié la composition de son cadran mais c’est la première fois que la pièce est proposée avec un cadran saphir intégré au sein d’une composition squelette. La « Grande Seconde Skelet-One » marque un véritable tournant stylistique dans l’histoire de la maison, présenté dans le cadre prestigieux de son 280ème anniversaire.
L’objectif de cette création était de faire entrer la lumière au plus profond de la Grande Seconde tout en préservant la forme du « 8 » qui en est la signature esthétique. Pour cela, Jaquet Droz a préservé le caractère épuré du cadran d’où se détachent les mythiques heures et minutes à midi en chiffres romains, entrelacés par la grande seconde à 6h en chiffres arabes, traçant une composition en tous points fidèle à l’inspiration originelle de la Grande Seconde, jouant autant de ses surfaces décorées que vides. Comme en musique, où les silences comptent autant (voire davantage) que les notes, la Grande Seconde trouve son équilibre dans l’alternance entre surfaces pleines et vides.
Cette nouvelle interprétation tout en transparence – une première chez Jaquet Droz – garde la même respiration entre les indications horaires et l’espace libre autour d’elles. Heures, minutes et secondes se détachent d’une nouvelle esthétique toute en transparence, baignée de lumière. Jaquet Droz n’a laissé apparents que les ponts qui structurent le mouvement de la pièce.
Le cadran saphir sur lequel se déploie la grande seconde permet d’admirer le mouvement squelette construit en couches successives, visibles de côté. Le platine est à présent intégralement ajourée. Le cercle d’emboitage a également été supprimé, permettant une meilleure ouverture de la composition. A midi, les heures et minutes se déploient sur un tour d’heure en saphir, posé sur une base en or. L’ensemble est maintenu par cinq vis indexées, c’est-à-dire orientées dans une direction choisie. Ce procédé utilisé pour la première fois par Jaquet Droz est dérivé d’un système existant dans l’armurerie et adapté par les équipes techniques de la maison. La masse oscillante en or a également été ajourée afin de laisser la lumière se diffuser librement au sein du mouvement. La Grande Seconde Skelet-One, dotée d’un double barillet, de spiral et cornes d’ancre en silicium, bénéficie ainsi d’un calibre assemblé à la main, le Cal. 2663 SQ. Il est le premier à laisser admirer le ballet mécanique qui bat au cœur de la Grande Seconde.
La Grande Seconde Skelet-One, d’un diamètre de 41 mm, est proposée en trois interprétations : or rouge, or gris et céramique.
“Some watches tell time, some tell a story”
Une scène encore chaude, un kit de batterie, quelques guitares et un harmonica : « It’s only rock’n’roll » ! Jaquet Droz dévoile aujourd’hui une des 23 pièces uniques qui retracent, en mouvement, l’univers des Rolling Stones. À droite d’un bras survolant la reproduction d’un disque de platine (la réserve de marche), une scène restitue leurs instruments fétiches, de fil d’or et de peinture miniature. Le disque externe tourne jusqu’à 8 fois de suite, durant 30 secondes, orné des albums que le collectionneur aura lui-même choisis pour sa pièce unique. L’inaltérable langue, à 9h, bat le rythme, de gauche à droite et de haut en bas. « And I like it » !
Après trois ans de travail, Jaquet Droz et John Howe ont développé une Montre d’Art dédiée à l’émotion, au merveilleux, au fantastique. Drapé d’or et de pierres rares, son dragon comporte 9 animations distinctes, un record. Au sein d’un boîtier de 43 mm, la pièce est entièrement réalisée à la main et personnalisable presque sans limite par le client. Grâce à un Studio au cœur des Ateliers de Jaquet Droz, il se verra offrir une expérience phygitale immersive qui lui permettra d’assister à la naissance de son garde-temps, en direct. Aucune série n’est annoncée, exclusivement des pièces uniques.
L’horloge « Effinger » datée de 1783, signée Jaquet-Droz, s’attribue à CHF 256'000.-, soit plus de 3 fois la mise à prix de CHF 70'000.-, lors des ventes aux enchères Koller ce 31 mars 2022.