Admirer le Béjart Ballet Lausanne dans les jardins de l'Orangerie à Versailles peut sans nul doute se comparer à l’une des Sept Merveilles du Monde. L'Art de l'Emerveillement y prend alors tout son sens ; les chorégraphies du Béjart Ballet Lausanne et la splendeur du lieu ravissent les convives. La grâce, l'exactitude et la précision des danseurs nous rappellent naturellement l'élégance de Jaquet Droz.
Pouvoir contempler le Béjart Ballet Lausanne, partenaire de Jaquet Droz, dans les jardins de Versailles devient un moment magique rempli de souvenirs. En effet, deux siècles et demi auparavant, exactement en juin 1775, Henri Louis Jaquet-Droz, le fils de Pierre Jaquet-Droz, était reçu à la cour de Louis XVI, roi de France. En découvrant les trois fameux automates, le roi de France était subjugué. Une fois de plus la magie de Jaquet Droz avait opéré.
Le mercredi 18 juin, les jardins étaient envahis d'émotion et de beauté. La pureté des danseurs soulignée par les chorégraphies de Maurice Béjart (sous la direction artistique de Gil Roman), la grandeur et l'histoire de cet endroit ont fait de cette soirée un moment unique et inoubliable. Envoutés par le final du « Boléro », musique de ballet composée par Maurice Ravel avec un tempo fixe et une mélodie répétitive, les invités ont directement été charmés par le tic-tac du temps.
Le partenariat entre Jaquet Droz et Béjart Ballet Lausanne est le résultat de la rencontre entre deux mondes qui sont artistiquement proches. C'est une fusion créative et lumineuse, une fusion de personnalités qui partagent la même passion pour le mouvement et la valeur inestimable de ces moments rares et éphémères durant lesquelles la beauté opère. Le prochain moment de magie aura lieu à Mexico le 19 juillet.
Une scène encore chaude, un kit de batterie, quelques guitares et un harmonica : « It’s only rock’n’roll » ! Jaquet Droz dévoile aujourd’hui une des 23 pièces uniques qui retracent, en mouvement, l’univers des Rolling Stones. À droite d’un bras survolant la reproduction d’un disque de platine (la réserve de marche), une scène restitue leurs instruments fétiches, de fil d’or et de peinture miniature. Le disque externe tourne jusqu’à 8 fois de suite, durant 30 secondes, orné des albums que le collectionneur aura lui-même choisis pour sa pièce unique. L’inaltérable langue, à 9h, bat le rythme, de gauche à droite et de haut en bas. « And I like it » !
Après trois ans de travail, Jaquet Droz et John Howe ont développé une Montre d’Art dédiée à l’émotion, au merveilleux, au fantastique. Drapé d’or et de pierres rares, son dragon comporte 9 animations distinctes, un record. Au sein d’un boîtier de 43 mm, la pièce est entièrement réalisée à la main et personnalisable presque sans limite par le client. Grâce à un Studio au cœur des Ateliers de Jaquet Droz, il se verra offrir une expérience phygitale immersive qui lui permettra d’assister à la naissance de son garde-temps, en direct. Aucune série n’est annoncée, exclusivement des pièces uniques.
L’horloge « Effinger » datée de 1783, signée Jaquet-Droz, s’attribue à CHF 256'000.-, soit plus de 3 fois la mise à prix de CHF 70'000.-, lors des ventes aux enchères Koller ce 31 mars 2022.